"— Il faut arrêter l'hémorragie ! murmura-t-elle
Il parut un instant hébété, comme si la véracité de ses paroles lui était insupportable, puis il répondit faiblement:
— Cette conversation est terminée. "
Bien avant l’avènement de l’Atlantide, dans un monde sombre pétri de
violence et de sorcellerie, la Terre tremble sous les sabots de la horde
des Kitzakks tout-puissants.
Ils sont invaincus. Ils veulent conquérir le monde entier, et surtout
cette vallée luxuriante qui, bien des siècles plus tard, deviendra la
mer Méditerranée. Personne n’ose se dresser contre eux. Personne, sauf
un homme : Gath de Baal. Afin de sauver le peuple de la forêt, il devra
déjouer les ruses des dieux, et porter le heaume maudit, devenant ainsi
l’incarnation de la Mort en personne, le Death Dealer.
Cela faisait très, mais alors très longtemps, que je voulais lire The Death Dealer. J'ai donc été très déçu lorsque la maison d'édition Eclipse est tombée, car la production s'était arrêtée. Toutefois, le phœnix renait de ses cendres et m'a permis d'avoir enfin ce premier tome entre les mains.
L'histoire paraissait intéressante sur un premier abord, mais je fus vite perplexe, voire déçu au fur et à mesure de ma lecture, non pas sur l'histoire fondamentalement, mais sur la structure. Moi qui adore avoir de longs chapitres ou des détails à foison, j'ai été frustré.
En effet, je me suis demandé si l'auteur avait essayé de faire un record avec des chapitres les plus rapides du monde... Il faut compter en moyenne deux pages et demies pour un chapitre... Rapide l'artiste...
Quant-aux détails, c'est du même acabit, peu sont présents et ne permettent pas une bonne appréciation de la lecture.
En clair, une lecture décevante que je ne compte pas poursuivre avec les tomes suivants.
Publié aux Éditions Panini (Éclipse), 2011-2013, 405 page, 13,30€
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire